Réflexion du Code Chapelle sur cette formation :
Formation : Démystification des croyances et guidance responsable
Cette formation vous apprend à distinguer le vrai du faux, à observer sans juger et à parler avec clarté. Grâce à des exemples concrets, vous reliez la théorie à la vie réelle. Ainsi, vous développez un discernement essentiel pour guider avec justesse. Chaque situation devient une leçon, chaque mot un outil de conscience. Vous gagnez en assurance et en cohérence, qualités indispensables pour être un praticien responsable et inspirant.
Notre histoire familiale, nos croyances individuelles ou collectives, regorgent d’expériences tangibles. En effet, elles nous montrent clairement ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Ce qui est le but de cette formation pour apprendre à démystifier des croyances limitantes.
Se référer à ces vécus, c’est sortir de la culpabilité héritée des siècles de conditionnement moral et religieux — notamment de l’idée du « pauvre pécheur » imposée par la tradition chrétienne.

Vibration magnétique formation et guidance :
Le pouvoir n’est pas dans le rituel, mais dans la conscience. Ce qui agit, c’est la croyance, l’intention et la posture intérieure.
Conseil et formation du Code Chapelle :
Ne jamais nourrir la peur dans un tirage.
Aide la personne à reconnaître son pouvoir créateur, en l’invitant à observer sa propre expérience plutôt que de craindre une force extérieure.
Le Vaudou : peur projetée ou réel pouvoir ?
Croyance répandue :
Le vaudou serait une pratique capable de maudire ou de contrôler quelqu’un à distance.
Réflexion magnétique et guidance :
Si ce pouvoir était absolu, il aurait empêché l’esclavage en Afrique de l’Ouest, à Haïti, ou dans les Caraïbes, et stoppé la colonisation des peuples d’Afrique et d’Amérique.
À cette époque, les croyances de ces peuples étaient souvent détournées par les hommes qui criaient le plus fort, imposant leur pouvoir par la peur plutôt que par la sagesse.
Ce qui agit réellement :
La peur amplifie le champ magnétique et attire ce que l’esprit redoute. Ce n’est pas le rituel qui agit, mais la vibration émotionnelle qu’on y projette.
Conseil de transmission :
Pour démystifier une croyance, il est essentiel de se renseigner soi-même sur les faits et les événements historiques. Lorsqu’on s’instruit et que l’on vérifie la réalité, on développe une conviction intérieure fondée sur la connaissance plutôt que sur la peur. C’est à partir de cette conviction éclairée que l’on peut, à son tour, transmettre des informations justes et apaisantes.
C’est pourquoi le praticien conscient doit connaître l’histoire de la nature humaine, comprendre comment les peurs collectives et les manipulations se sont construites, afin de pouvoir rassurer, soulager et guérir les fausses croyances de ses consultants.
Guérir, c’est aussi rendre à l’humain sa liberté de penser et de ressentir, en éclairant ce qui a été obscurci par l’ignorance ou la peur.

Démystifier le Mauvais Œil – Regard d’autrui ou regard sur soi ?
Croyance répandue :
Dans l’Antiquité, les Grecs et les Romains redoutaient le “baskanos” ou “malus oculus”, symbole du regard envieux capable de causer la maladie ou la ruine.
En Afrique du Nord et au Moyen-Orient, par ailleurs on portait la main de Fatma (khamsa) ou l’oeil bleu pour se protéger de la jalousie perçue.
Pour la Sicile et dans le sud de l’Italie, le malocchio était craint dans les villages : en effet, on faisait des prières ou des rituels d’huile dans l’eau pour “détecter” l’envie.
En Inde, les mères dessinaient un point noir sur le front de leur enfant pour détourner le regard envieux et protéger sa lumière intérieure.
Quelques fois dans les campagnes françaises, on pensait qu’un compliment pouvait “attirer le mauvais oeil” s’il n’était pas suivi d’un signe protecteur comme “Dieu vous garde”.
Réflexion magnétique et guidance :
Le véritable pouvoir du mauvais œil ne vient pas du regard de l’autre, mais de celui que l’on porte sur soi-même après avoir été jugé. C’est notre interprétation intérieure qui active la vibration négative.
Ce qui fonctionne réellement :
L’effet miroir. Ce n’est pas le regard des autres qui nous atteint, mais la manière dont nous l’accueillons.
Conseil du Code Chapelle :
Le praticien doit connaître et transmettre des exemples concrets pour aider le consultant à se reconnecter à son estime de soi.
C’est en comprenant que l’extérieur reflète l’énergie intérieure que l’on reprend pleinement son pouvoir.
Objets maudits ou objets chargés Vérité ou transfert émotionnel ?
Exemples historiques et populaires de superstitions liées à différents objets :
Le miroir brisé
Casser un miroir annoncerait sept ans de malheur. En fait cette croyance vient de l’idée que le miroir reflète l’âme ; le briser, c’est “fragmenter son image intérieure”.
Les bijoux hérités ou funéraires Dans certaines familles, on redoute les bagues ou colliers ayant
appartenu à un défunt, comme si l’objet portait sa tristesse ou sa souffrance.
Les pierres ou objets ramenés de lieux sacrés .En Écosse, à Hawaï ou à Pompéi, certains touristes renvoient par la poste les pierres ou fragments qu’ils ont pris. En effet, ils sont persuadés d’avoir attiré malchance ou accidents.
Les objets religieux ou occultes mal utilisés Certaines personnes craignent qu’une croix inversée, un pentacle ou une statue brisée attirent des énergies “sombres”.
Formation démystification des croyances et guidance responsable
Réflexion magnétique et guidance:
Un objet est neutre par nature. Ce n’est pas lui qui porte le mal, mais la charge émotionnelle et l’histoire qu’on lui attribue. C’est notre projection qui lui confère une vibration.
Ce qui fonctionne réellement :
Ce que l’on croit devient ce que l’on crée.
Purifier un objet, c’est avant tout purifier le lien que nous entretenons avec lui. C’est un acte de libération intérieure autant qu’énergétique.
Formation et Guidance pour désacraliser :
Proposez un rituel symbolique pour rétablir l’équilibre de l’objet : fumigation, prière, sel, visualisation…
Vous pouvez aussi l’échanger ou le vendre : cet acte transforme la charge en circulation d’énergie. L’argent reçu devient un nouveau souffle de vie, un vecteur de renouveau.
En effet, celui qui acquiert l’objet, ignorant son histoire, lui offre une nouvelle vibration, une continuité d’existence.
Chaque échange est un cadeau, un présent vivant qui relie deux consciences dans la transformation.

La sorcellerie – Pouvoir réel ou théâtre ancien ?
Croyance répandue :
Les sorcières auraient, soi-disant, le pouvoir de jeter des sorts, de nuire à distance ou d’invoquer des forces obscures.
Cette peur du “mal invisible” a traversé les siècles. En effet, elle était nourrie par l’ignorance et la peur du savoir spirituel.
Origines historiques :
Au Moyen Âge, en Europe et en France, l’Inquisition traqua et extermina des milliers de femmes accusées de sorcellerie.
Elles, étaient souvent guérisseuses, herboristes, mais aussi sages-femmes ou voyantes :
des femmes libres, reliées à la nature et à la connaissance des cycles.
Aux États-Unis, les sorcières de Salem furent exécutées en 1692 à cause de simples rumeurs et de peurs collectives.
Même Nostradamus, médecin et visionnaire, perdit sa famille malgré ses savoirs : preuve que le savoir ne protège pas de la souffrance humaine.
À cette époque, seuls les hommes d’Église étaient lettrés, et ils contrôlaient le discours spirituel.
Tout savoir non validé par eux était jugé “diabolique”.
Réflexion et formation du Code Chapelle :
Le véritable pouvoir ne se cache pas dans les rituels ni dans les symboles extérieurs, mais dans la conscience que chacun porte en soi. C’est l’intention, l’émotion et la clarté intérieure qui agissent — non les formules ou les objets.
Envoûtement = psycho- somatisation
Lorsqu’un consultant dit être envoûté, ne le contredisez pas. Écoutez, accueillez, puis entrez dans son univers symbolique. Derrière ce mot se cache souvent une psycho-somatisation : une peur, une blessure ou une mémoire non résolue qui cherche à s’exprimer sous forme d’image.
Le praticien du Code Chapelle devient, pour le consultant, le magicien capable de le libérer de l’envoûtement.
Il accepte consciemment ce rôle, tout en sachant intérieurement que le mot magie est l’anagramme d’image.
En vérité, il ne sauve pas son client : il révèle.
Car il sait que ce que l’esprit conçoit finit toujours par se manifester, et qu’à travers la conscience collective, la loi d’attraction agit comme un champ magnétique reliant toutes les pensées, toutes les émotions et toutes les formes.
Le praticien réconforte alors son consultant en lui transmettant un rituel de protection — un mantra ou une prière inspirée.
Ce geste symbolique agit comme un pont entre la peur et la confiance.
À travers ces mots vibratoires, le praticien aide le consultant à se reconnecter à sa propre lumière intérieure.
Le rituel n’est pas une magie extérieure, mais un acte de recentrage magnétique : il apaise l’esprit, harmonise les émotions et rappelle à l’âme qu’elle détient déjà la clé de sa libération.

✦ Confession et Consultation – Les nouveaux rituels de l’âme ✦
Quand Croyance rime avec Guidance
Autrefois, le pénitent entrait dans l’église pour se confesser. Ce rituel était essentiel : sans confession, point de communion.
Le fidèle déposait ses fautes, le prêtre les écoutait, puis accordait l’absolution. Deux prières : un Notre Père et trois Je vous salue Marie scellaient le pardon.
Enfin, venait le geste concret : quelques pièces dans la boîte à offrande, un signe de croix, une goutte d’eau bénite.
Tout était rythme, rite, libération symbolique.
Aujourd’hui, le décor a changé mais la mécanique reste la même. Le fidèle est devenu patient, le prêtre s’est mué en psy.
Le confessionnal a pris la forme d’un cabinet, et la parole se déverse encore. Le psy écoute, absout d’un diagnostic, prescrit parfois une pilule et, à la fin, délivre sa facture — offrande contemporaine.
Les époques changent, mais les rituels de décharge émotionnelle demeurent. L’homme, qu’il prie ou qu’il parle, cherche toujours à être entendu, lavé, reconnu.
Le Code Chapelle invite à voir dans chaque rituel, ancien ou moderne, la trace d’un même besoin :
» Celui de retrouver le lien avec sa conscience , d’alléger la faute, et de donner forme visible à l’invisible. »
Aujourd’hui encore les croyances influencent!
Aujourd’hui encore, sous d’autres formes, le rituel persiste.
L’imam écoute et guide le croyant,
le rabbin éclaire la tradition,
le pasteur accompagne la foi protestante,
le moine bouddhiste enseigne la voie intérieure,
et le chamane relie le visible et l’invisible.
Sous chaque nom, une même essence demeure : celle du lien sacré entre l’homme et le divin, entre la parole et la libération.
Dans notre société dite moderne, philosophie, spiritualité et religion restent profondément ancrées.
Elles changent de visage, de langage, mais continuent d’enseigner les mêmes principes :
la quête de sens, la recherche de paix intérieure, et le besoin de croire en une force supérieure.
Chaque courant, chaque dogme, rappelle que l’être humain a toujours cherché à comprendre le mystère de sa propre existence.
Et c’est dans cette quête intemporelle que le Code Chapelle propose une voie : celle de la conscience magnétique, libérée des dogmes, mais reliée à la sagesse universelle.