lettre miroir Alexandra et achat de la maison
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Le Miroir d’Alexandra

La Maison des Reflets

Voici une expérience que j’ai nommée  » le miroir d’ALEXANDRA ». Depuis plusieurs mois, je propose à Alexandra d’acheter la maison voisine pour en faire un gîte. Mais face à l’ampleur des travaux, elle refuse. Par moments, je relance l’idée, et je sens bien que mon insistance l’agace.

Pourtant, selon le Code Chapelle, j’entends en moi qu’il est juste de persister : non pour convaincre l’autre, mais pour ne pas me reprocher plus tard de ne pas avoir insisté. Ici, il ne s’agit pas d’Alexandra, mais de moi, de ma clairvoyance et de ma clairaudience.

Aimer, c’est aussi accepter le choix de l’autre, même quand il ne correspond pas au nôtre. La vraie question reste : pourquoi cette maison résonne-t-elle si fort en moi ? Je la perçois comme une opportunité, non seulement pour Alexandra – que je considère comme une fille adoptive – mais aussi pour moi, comme un signe à déchiffrer.

Le Clin d’œil du Destin

Finalement, Mme Bourreaux, de l’agence immobilière, finit par trouver des acheteurs. Le samedi 27 septembre 2025, alors que je suis à la maison avec ma plus jeune fille, Nana, celle-ci m’alerte : une femme semble vouloir sonner à notre porte. Je sors à sa rencontre. Elle m’explique qu’elle vient de visiter la maison voisine avec son mari.

Coup de foudre immédiat, et les voilà à la recherche d’un voisin pour leur parler de la vie du hameau.

Je souris et les invite à poser leurs questions. Il est 13h, et j’ai un rendez-vous à 13h30 avec ma cliente Catherine, dont je viens de vendre la maison. Le couple paraît d’emblée très sympathique. Je leur confie que le voisin est un ami et que j’ai ses clés pour les visites.

Quand le Destin frappe à la porte

Puis, je leur brosse un tableau de la vie du hameau, mentionnant aussi le projet d’éoliennes – dont ils n’avaient pas été informés. La discussion s’engage, et je leur propose de leur transmettre la documentation, en précisant que mon mari est impliqué dans l’association qui s’y oppose.

Le mari me demande alors le numéro de mon époux. C’est à ce moment que j’apprends leur prénom : Alexandra et Alexis. Intérieurement, je suis saisie, émerveillée, presque scotchée.

Était-ce un clin d’œil du destin ? Alexandra, ma fille adoptive de cœur, a-t-elle laissé passer une opportunité qui lui était destinée ?

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