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Tarots et Oracles

Les images des tarots et oracles ne sont pas anodines

Dans un monde saturé d’images, il est facile d’oublier leur véritable pouvoir. Pourtant, les illustrations que l’on retrouve dans les tarots et les oracles ne sont jamais neutres. Chaque symbole, chaque couleur, chaque chiffre agit comme un déclencheur inconscient.

Ces images parlent un langage que notre esprit rationnel ne comprend pas toujours, mais que notre inconscient reconnaît immédiatement. Elles réveillent en nous des souvenirs, des émotions, des croyances enfouies… voire des comportements automatiques.

Ce mécanisme n’est pas si éloigné de celui utilisé dans la publicité : à force d’expositions répétées, une simple image peut influencer nos choix, nos humeurs, voire nos actions, sans que nous en ayons conscience. Dans les jeux divinatoires comme dans la vie quotidienne, une image n’est jamais juste une image. Elle est une clef, un code. Et parfois, un aimant.

Tarots et oracles : des messages visuels à fort impact

1. L’image comme porte d’accès à l’inconscient

Depuis toujours, l’image est un langage en soi. Elle traverse le temps, les croyances, les civilisations. Dans les tarots et oracles, chaque symbole, chaque forme, chaque couleur agit comme un message subliminal, conçu non pas pour manipuler, mais pour réveiller. Ces images sont les héritières d’un savoir ancien, transmis de génération en génération, consciemment ou non. Même si vous êtes athée, agnostique, spirituel ou strictement cartésien, ces symboles vous parlent. Ils vous traversent. Ils vivent en vous, car ils ont été stockés dans l’inconscient collectif, transmis depuis des millénaires par nos ancêtres.

Quand on tire une carte du tarot, on ne fait pas que « voir » un dessin : on réactive une mémoire. Ce souvenir peut être personnel ou ancestral. Il est souvent invisible, mais il influence nos émotions, nos choix, notre rapport à nous-mêmes et aux autres. Ainsi, l’image devient un miroir de l’âme, un déclencheur, parfois même une alerte.

Et si ces images dérangent, c’est qu’elles touchent une corde sensible. Elles réveillent en nous des croyances profondes, souvent culpabilisantes ou limitantes. Comme dans les films religieux ou historiques où le péché, la souffrance et la fatalité sont mis en scène, ces codes sont répétés, renforcés… et intégrés. Répétés. Toujours répétés. C’est ainsi que les symboles nous façonnent à notre insu.

2. Le magnétisme du dessin : pourquoi une simple carte réveille tant ?

Un dessin peut sembler anodin. Pourtant, il contient une vibration. Une énergie. Dans les tarots, le moindre détail compte : une main levée, un œil ouvert, une couronne, un animal. Le tout est amplifié par les couleurs : le rouge (l’action), le bleu (l’esprit), le jaune (la conscience), le noir (l’invisible), le blanc (la pureté), la chair (l’humanité incarnée). Ce code visuel agit comme une onde. Et cette onde entre en résonance avec nos pensées les plus profondes.

Prenons la Papesse, l’Ermite, la Tour ou le Soleil. Ces figures sont accompagnées de chiffres porteurs d’archétypes : le 2, le 9, le 16, le 19… Vous pouvez ignorer la numérologie, ne pas y croire du tout. Pourtant, votre cerveau, lui, reconnaît. Car il a déjà vu, déjà entendu, déjà ressenti. Les symboles sont enregistrés, intégrés, transmis.

Oui, ce sont des messages subliminaux. Ils agissent en sourdine, comme des murmures psychiques. Et c’est en répétant de nouveaux symboles, en leur donnant un sens réparateur, que l’on peut désactiver peu à peu les anciennes croyances. Celles qui vous font croire que vous ne méritez pas, que tout est souffrance, que l’autorité est douleur, que l’échec est honte.

3. Les couleurs et les chiffres : une alchimie symbolique

Dans le tarot de Marseille Grimaud, la palette est réduite mais puissante : bleu, rouge, jaune, blanc, noir et chair. Ces couleurs ne décorent pas : elles transmettent. Là encore, un message subliminal. Ces teintes activent des mémoires inconscientes. Les chiffres qui accompagnent les cartes agissent de la même façon : ils ne sont pas qu’un repère d’ordre, ce sont des codes symboliques. Le 22, par exemple, nous suit partout : dans l’alphabet hébreu, dans l’expression « 22 v’là les flics »… Des phrases comme « moral à zéro », « 5 sur 5 », « être sur son 31 », ne sont pas que des jeux de langage. Ce sont des ancrages symboliques profonds, transmis par la culture, la langue, la famille.

Que vous y croyiez ou non, vous êtes influencé. C’est humain, c’est ancien, c’est universel. Le plus ironique, c’est que dans notre société moderne, même la consultation chez un psychiatre reproduit un ancien rituel : la confession. Avant, on allait voir le prêtre, on parlait à Dieu. Aujourd’hui, on va chez le psy, on parle à l’inconscient. Les deux sont liés par un pacte de silence : l’un par le secret de la confession, l’autre par le serment d’Hippocrate. Et dans les deux cas, vous confessez vos blessures, vos peurs, vos croyances. Encore et encore.

Et ce n’est qu’à force de répéter de nouveaux symboles, de les regarder autrement, qu’on reprogramme ce qui a été hérité, subi, intégré sans le vouloir. voir la suite en cliquant sur ce lien .

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